L’empreinte du passé dérisoire
L’étranger errait dans les ruelles du carnaval sempiternellement, empruntant la voie de les voiles colorés qui semblaient figés dans un sorte d’oubli hypnotique. Chaque jambes dansait gracieusement, sans jamais s’arrêter, par exemple s’ils étaient pris dans une noeud temporelle avec lequel individu ne se souvenait l’origine. Il se de